Lorsqu’en 1915 Albert Einstein formule la théorie de la relativité restreinte, il décrit une série de conséquences qui découlent de sa théorie. Depuis 6 d’entre elles ont été vérifiée par l’observation :
la trajectoire de Neptune,
la déviation de la lumière,
l’existence de trous noirs,
l’expansion de l’Univers
et la dilatation du temps.
Il aura fallu 100 ans pour que sa dernière prédiction soit vérifiée.
Amateurs d’astronomie ou simple curieux, il va vous falloir veiller tard dimanche 27 Septembre. C’est effet le lendemain très tôt, autour des deux heures du matin que se produira un phénomène exceptionnel : une éclipse totale de super lune. La dernière date de 1982, la prochaine aura lieu en 2033.
Il s’agit en fait de la concordance de deux phénomènes :
• D’une part la lune va se trouver dans l’axe terre-soleil et passer dans la zone d’ombre projetée par la terre comme lors de toute éclipse de lune classique.
• D’autre part la lune se trouvera dans la partie de son orbite la plus proche de la terre (L’Epigée) ce qui lui confèrera une taille apparente 14% plus grande qu’à l’accoutumée. Un spectacle exceptionnel en perspective.
En s’éloignant de Pluton, la sonde New Horizons de la NASA nous a livré une image plein de surprise de l’atmosphère de la pseudo-planète.
En passant derrière Pluton, New Horizons a pu prendre ce cliché « à contre jour » : la lumière du soleil, situé de l’autre coté de la pseudo planète à cet instant, permettant de visualiser l’atmosphère de Pluton. Celle-ci s’est révélée plus épaisse que prévu et constituée d’un brouillard s’élevant jusqu’à 130 km de la surface.
La semaine dernière, la sonde Spatiale New Horizons, lancée par la NASA le 19 janvier 2006 , nous renvoyait les première image de Pluton et de son satellite Charon. Nous vous livrons ici celles qui on retenu notre attention.
Depuis son atterrissage mouvementé suivi de quelques heures d’activité, nous étions sans nouvelles de l’atterrisseur Philae. Les équipes de l’Agence Spatiale Européenne (ESA) l’avaient mis en sommeil en attendant que les conditions d’ensoleillement à la surface de la comète « Tchouri » (67P/Churyumov-Gerasimenko) lui permettent de recharger ses batteries.
Samedi 13 juin à 22 h 28 (heure de France métropolitaine), Philae a réussi à communiquer 300 paquets d’information à la terre, via la sonde Rosetta, pendant une durée de 85 secondes. Ce n’est qu’un début, mais un début encourageant. Parmi les informations transmises, nous apprenons que sa température interne est de -35°C soit 10°C au dessus de la température minimum pour que l’ordinateur de bord puisse fonctionner. Il devrait être bientôt possible de communiquer en continu avec Philae du fait son rapprochement du soleil et grâce aux efforts des équipes de l’ESA qui vont tenter de positionner Rosetta de façon à mieux recevoir les informations envoyées par Philae.
Les scientifiques attendent avec impatience le prochain contact car ils savent dors-et-déjà qu’il reste 8000 paquets de données dans la mémoire de masse de Philae et que d’autres sont à venir.
En 10 ans d’existence, naturoptic.com a établi sa réputation auprès des particuliers mais aussi auprès des professionnels qui apprécient l’expertise technique et les capacités de conseils de notre équipe. Au cours de cette période, nous avons collaboré avec de nombreuses entreprises, administrations et établissements d’enseignement ou de recherche pour trouver, avec eux, les solutions les plus adaptées à la pratique de leur activité au quotidien.
C’est dans cette logique que nous ouvrons aujourd’hui aux professionnels une section de notre site. Vous pourrez y découvrir l’étendue des services que nous pouvons vous proposer (conseil, location, matériels spécifiques) et avoir accès à un canal de communication dédié.
Nous vous donnons rendez-vous sur notre site.
Certaines loupes binoculaires sont équipées d’une sortie optique supplémentaire (sortie vidéo) destinées à la capture du champ observé par une caméra numérique. On parle alors de loupes « Trinoculaires ». La lumière suit alors deux chemins distincts : l’un à destination des oculaires (caractérisés par leur indice de champ) et l’autre à destination de la caméra numérique. Selon la taille du capteur de la caméra, le champ capturé couvre plus ou moins de ce qui est observé aux oculaires. Le dispositif de grossissement appelé « projectif » ou « adaptateur vidéo » qui se place entre la tête de la loupe et la caméra influence directement la performance de la caméra.
Lors de l’achat d’une caméra ou d’une loupe Trinoculaire, il est difficile de se faire une idée du rapport entre le champ observé et le champ capturé. C’est pourquoi Naturoptic a développé un outil en ligne gratuit vous permettant de visualiser la différence entre ces deux champs et de faire un choix éclairé lors de vos achats.
Samedi dernier, l’atterrisseur Philae a été mis en sommeil par les équipes de l’ESA. Avant cela de nombreuses péripéties ont émaillé ses quelques jours d’activité.
Quelques heures après son largage depuis la sonde Rosetta nous savions déjà que Philae avait rebondi au moins sur la surface de la comète 67P. Il s’avère finalement que c’est bien deux rebonds que l’atterrisseur a effectués : le premier a réduit sa vitesse originale de 1 mètre par second à celle de seulement 38 centimètres par seconde et a duré 1h30. Sa trajectoire a pu être reconstituée à postériori par les caméras de Rosetta, nous livrant une série de clichés retraçant les étapes de ce mimi-vol. Ce rebond inattendu a permis de faire au passage des mesures non prévues sur les poussières entourant la comète et sur son champ magnétique. (suite…)
La confirmation est tombée Mercredi 12 Novembre à 17h03 : l’atterrisseur Philae s’est bien posé sur la comète 67P.
Le largage depuis Rosetta a eu lieu à 9h30 ce même jour et a été confirmé sur terre 28 minutes plus tard, le temps que le signale nous parvienne. S’en est suivi une période de deux heures de silence dues aux positions relatives de Philae et Rosetta qui ne permettaient pas la transmission d’informations jusqu’à la terre. Ce n’est qu’à midi que les premières images nous sont parvenues : Philae a pris un photo de Rosetta au moment de son largage qui lui a rendu la politesse en prenant une image de l’atterrisseur pendant sa chute libre vers la comète, permettant au passage de confirmer le déploiement de ses pieds et de ses instrument. (suite…)