La semaine dernière, la sonde Spatiale New Horizons, lancée par la NASA le 19 janvier 2006 , nous renvoyait les première image de Pluton et de son satellite Charon. Nous vous livrons ici celles qui on retenu notre attention.

Samedi dernier, l’atterrisseur Philae a été mis en sommeil par les équipes de l’ESA. Avant cela de nombreuses péripéties ont émaillé ses quelques jours d’activité.
Quelques heures après son largage depuis la sonde Rosetta nous savions déjà que Philae avait rebondi au moins sur la surface de la comète 67P. Il s’avère finalement que c’est bien deux rebonds que l’atterrisseur a effectués : le premier a réduit sa vitesse originale de 1 mètre par second à celle de seulement 38 centimètres par seconde et a duré 1h30. Sa trajectoire a pu être reconstituée à postériori par les caméras de Rosetta, nous livrant une série de clichés retraçant les étapes de ce mimi-vol. Ce rebond inattendu a permis de faire au passage des mesures non prévues sur les poussières entourant la comète et sur son champ magnétique. (suite…)
La confirmation est tombée Mercredi 12 Novembre à 17h03 : l’atterrisseur Philae s’est bien posé sur la comète 67P.
Le largage depuis Rosetta a eu lieu à 9h30 ce même jour et a été confirmé sur terre 28 minutes plus tard, le temps que le signale nous parvienne. S’en est suivi une période de deux heures de silence dues aux positions relatives de Philae et Rosetta qui ne permettaient pas la transmission d’informations jusqu’à la terre. Ce n’est qu’à midi que les premières images nous sont parvenues : Philae a pris un photo de Rosetta au moment de son largage qui lui a rendu la politesse en prenant une image de l’atterrisseur pendant sa chute libre vers la comète, permettant au passage de confirmer le déploiement de ses pieds et de ses instrument. (suite…)
Nous devons cette image à la capsule Chang’e 5 T1, lancée pas l’Agence Spatiale Nationale Chinoise (CNSA) lancée le 23 octobre 2014.
Cet engin spatial a pour mission de valider certaines phases de vol de la future mission Chang’e 5 dont le but est la collecte automatique de 20 kg d’échantillons lunaires en 2017. Cette simple mission technique nous a, au passage, renvoyé cette très belle image de notre planète avec en premier plan la face cachée de la Lune.
Un mois exactement après son premier « selfie », Rosetta nous envoie un dernier autoportrait pris à 16 km de la comète 67P/Churyumov–Gerasimenko.
La distance s’étant considérablement réduite, on distingue beaucoup mieux la comète. Il est ainsi possible de distinguer les jets chargés de poussières qui fusent au niveau du « cou » de 67P. La partie nocturne du grand lobe est tournée vers la sonde et la portion éclairée du petit lobe est pratiquement centrée sur le site d’atterrissage principal J dont nous vous avions déjà parlé.
Après 3 semaines d’étude minutieuse de la surface de la comète 67P/ Churyumov–Gerasimenko par la sonde Rosetta, les experts de l’ESA on choisi hier le futur site sur lequel se posera l’atterrisseur Philae. Parmi toutes les zones envisagée, c’est la « zone J », situé sur la « tête » de la comète qui a été sélectionnée car elle présente le moins de facteurs de risque lors de l’atterrissage tout en étant proche de zones d’activités de la comète. (suite…)
L’Agence Spatiale Européenne (ESA) a publié hier le premier « selfie » de la sonde Rosetta.
Prise, le 7 septembre dernier, à une distance d’environ 50 km de la comète 67P/Churyumov–Gerasimenko, cette photo nous montre non seulement la comète elle-même mais aussi l’un des panneaux solaires (d’un longueur de 14 m) du satellite en premier plan. Cette magnifique prise de vue a en fait été réalisée par l’une des six caméras CIVA (Comet Infrared & Visible Analyser) présentes sur l’atterrisseur nommé Philéa encore attaché à Rosetta.
Voilà qui laisse augurer de magnifiques images lorsqu’il se posera, dès le mois de Novembre, à la surface de la comète.
Grossir les objets : Il rapproche les objets, et rend visible des détails trop petits pour être vu à l’œil nu (cratère sur la lune, anneaux de saturne…)Collecteur de lumière : Véritable entonnoir, l’instrument d’observation astronomique peut ainsi rendre visible des objets invisible ou minuscule pour l’œil nu.
Vous avez peut-être récemment observé le ciel et remarqué une étoile particulièrement brillante ?
Je suis désolée de vous décevoir mais ce n’est pas l’étoile du berger, ce n’est d’ailleurs pas une étoile tout court. Ce point particulièrement brillant haut dans le ciel n’est autre que JUPITER, la planète géante.